27, c'est le nombre d'œuvres installées dans la Galerie œil du lycée Jean Moulin de Forbach. Il s'agit des œuvres de Boris Achour, Nathalie Bachmann, Berdaguer & Péjus, Rémi Bragard, Pascal Brateau, Morgane Britscher, Yves Chaudouët, Estelle Chrétien, Miguel Costa, Christophe Cuzin, Philippe Garenc, Jérémy Gindre, Véronique Joumard, Emmanuel Lagarri gue, Chloé Poizat, Emmanuel Régent, Patrick Schmierer, Lionel Scoccimaro, Eric Tabuchi.
Chloé Poizat, Véronique JoumardBerdaguer & Péjus, Eric Tabuchi, Philippe Garenc, Estelle ChrétienEstelle Chétien & Miguel Costa, Morgane Britscher
Pour cette fin d'année et en écho à la programmation de la galerie Modulab de Metz, la mini-galerie du collège Chopin accueille trois œuvres d'Olivier Garraud. Les élèves vont découvrir, pendant deux mois, deux estampes numériques (L'Office du dessin) et un objet (Conspiracies don't exist).
À partir du 30 octobre 2020, les prêts d'œuvres dans les artothèques relais et mobiles sont suspendus. Dès que nous le pourrons, nous vous informerons de la ré-ouverture des artothèques relais et mobile de Château-Salins, Delme, Dieuze et Metz.
Le numéro 76 du magazinede l'air montre la richesse des collections des artothèques à travers 14 photographies issues des collections de 14 artothèques en France. L'artothèque plus vite fait partie des artothèques sélectionnées pour présenter une photographie de sa collection.
C'est la très belle photographie, LE BEL OUVRAGE 3, d'Agnès Geoffray, éditée par La Conserverie, qui a été choisie pour l'article à retrouver dans le magazinede l'air. LE BEL OUVRAGE 3, Agnès Geoffray
La commande Quotidien lancée par le Centre national des arts plastiques (Cnap) en partenariat avec l'Association de Développement et de Recherche sur les Artothèques (ADRA) a la particularité d'accompagner le réseau des artothèques en enrichissant les collections de ces-dernières, partout sur le territoire. Les œuvres de la commande ont rejoint la collection plus vite. Ces œuvres multiples révèlent douze regards d'artistes sur le quotidien.
Julien CARREYN, Hugo CAPRON, Jennifer CAUBET, Benjamin HOCHART, Chourouk HRIECH, Suzanne HUSKY, Pierre JOSEPH, Carlos KUSNIR, A&F LAMARCHE-OVIZE, Aurélie PAGÈS - Antoine DOROTTE, Julien TIBERI, Lucy WATTS
Elles seront présentées en 2021, à Metz, en partenariat avec Modulab et, à Forbach, en partenariat avec Castel Coucou.
Bar-Le-Duc, J. CarreynBar-Le-Duc, J. CarreynMono-chrome, H. CapronJJ/MM/AAAA, J. CaubetChiens de garde, B. HochartLe Coin de mon salon, C. HriechMIR, S. HuskyLe Mouchoir de William, A&F. Lamarche-OvizeBOUQUET, P. JosephA DOUBTFUL DAY - état plasma, A. Pagès, A. DorotteŒil sorcier (ballade), J. Tiberi Sans titre, C. KusnirSubmergé, L. Watts Photos : Albert De Boer
En 2020, l'artothèque Grand Est/plus vite rejoint les 28 artothèques de l'ADRA.
L’Association de développement et de recherche sur les artothèques (ADRA), actuellement composée de vingt-neuf membres, s’est notamment donné pour mission d’étudier les questions relatives à la recherche artistique, la diffusion et la médiation de l’art contemporain. Au-delà de ces objectifs, l'ADRA est un réseau de personnes et de structures conçu pour porter des projets communs (expositions, résidences, éditions, aides à la création…), faire circuler des idées, partager des expériences liées à une profession qui œuvre tous les jours, au plus près des publics, en faveur de l’art et des artistes.
Les 29 artothèques qui composent l'ADRA répondent à une charte qui définit leurs missions.
Constituer une collection
Généralement, une collection d’œuvres art s’enrichit par des acquisitions, mais aussi par d’autres moyens tels que les co-productions, des initiatives collaboratives et des dons.
Mais l’objectif des acquisitions reste cependant de restituer un paysage contemporain de la création et de ses enjeux ; en choisissant des démarches particulièrement représentatives des tendances actuelles, dans sa variété, à échelle internationale si l’on peut, s’appuyant sur des artistes reconnus pour aller vers des recherches plus expérimentales.
L’enrichissement des collections, comme tout le projet d’une artothèque, reste avant tout une péréquation entre le contexte politico-culturel, la personnalité du responsable et le statut. Le profil des collections reflète aussi les relations privilégiées développées avec les artistes d’un côté, et les emprunteurs de l’autre.
Sensibiliser
Les artothèques mettent au cœur de leur mode de fonctionnement l’expérience de l’œuvre. De par leur souplesse naturelle de fonctionnement (petite équipe et nomadisme des œuvres pensé comme structurant), les artothèques sont mobiles et réactives aux demandes et aux projets, elles n’imposent pas de programme. Elles développent ainsi une intelligence particulière dans le partenariat, une certaine porosité entre les différents types d’action (exposition, rencontre avec des artistes, résidence, atelier du regard ou de pratique plastiques) qui restent des moyens pour une médiation et non une fin.
Conserver
Une des missions premières des artothèques qui vise à diffuser très largement ses collections induit un paradoxe dans la notion même de conservation. D’une manière générale, la conservation est l’acte qui consiste à maintenir intact ou à préserver un élément dans un état constant. Or des œuvres susceptibles d’être empruntées plusieurs fois par an ne peuvent répondre à des critères de collection muséale dont le but premier est de conserver. Le terme de conservation préventive semble donc plus adapté au fonctionnement même des artothèques.
Produire & soutenir
Dans un contexte favorable à la sortie de l’art du cadre muséal, les artothèques représentent un lieu alternatif susceptible d’offrir aux artistes les conditions nécessaires à leurs expérimentations. Accompagner les artistes, communiquer sur leurs œuvres et entretenir le processus créatif font partie des attributions essentielles des artothèques.
stand plus vitestand plus vite
Pendant 2 jours, vous avez eu l’occasion de flâner entre les stands pour découvrir, feuilleter et acquérir des œuvres multiples originales mais aussi pour rencontrer et échanger avec les éditeur·trice·s et les artistes.
Ce premier salon vous a offert un panorama des éditeur·trice·s du réseau mais aussi de leurs nombreuses pratiques : prints, multiples originaux, posters, catalogues d’expositions, livres d’artistes, objets, … plus vite y avait un stand pour présenter ses éditions.
Nous sommes heureux de vous y avoir rencontré nombreux·euses !
Pendant les 2 jours, plus vite a organisé des ateliers ouverts à toutes et à tous. Le premier atelier proposait de découvrir le cyanotype et le second permettait d'expérimenter des recettes de gravure à faire dans sa cuisine. Les ateliers étaient animés par Morgane Britscher atelier cyanotypeatelier cyanotype atelier recettes de gravureatelier recettes de gravure
Une des fonctions de l’art et des lieux qui lui sont dédiés est de penser le monde et notre société. Il a ainsi semblé essentiel à la commission environnement et société du réseau LoRA de réfléchir à la manière dont le secteur des arts visuels peut œuvrer véritablement à la transition écologique.
Un manifeste a été rédigé pour affirmer une volonté de tendre vers la sobriété énergétique. Il marque un engagement qui prendra forme au fur et à mesure des nombreuses actions.
C’est une aventure de longue haleine, parfois désespérante tant la tâche est grande, mais stimulante et qui ne peut se faire que collectivement !
Plusieurs membres de plus vite sont signataires de ce manifeste pour participer à la transition écologique indispensable pour un futur vivable. Ils crient même :“plus vite !“
Vous souhaitez être signataire ? Cliquez sur ce lien
Pour commencer l'année scolaire, la mini-galerie du collège Chopin a accueilli 3 œuvres de la collection. Les élèves ont découvert La Faucille seule, Le Marteau seul d'Alain Bernardini et Brûler le pavé de Corentin Leber.
C'est ainsi une année pleine de convictions qui commence... A. Bernardini, C. LeberC. Leber
Impression numérique couleur sur Bristol 250g, découpe, papier rose - 2020 - 20 x 10 cm
100 exemplaires numérotés dont 37 infiltrés dans l’agenda LORA (septembre/novembre 2020).